LE PARISIEN 20/02/04 Il reste des fûts radioactifs
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11/02 afp
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Samedi 20 mars à 11h30,
un énorme fracas est entendu par les voisins de l'usine de tétrafluorure
d'uranium de Comurhex (groupe Areva) à Narbonne : la digue bordant
les bassins de décantation B1-B2 (surface d'environ 5hectares) venait
de céder sur 180 mètres de long, lâchant dans la nature
environ 15000 m3 de boues nitratées. Par chance, le chemin
longeant le canal de Tauran a évité que les boues ne se répandent
au-delà du site industriel.
Mais, évidemment, le canal de Tauran et celui de la Robine où il se jette ont vu leurs concentrations en nitrates monter (jusqu'à un maximum de 170 mg/l le 24 mars), et tout cela aller dans l'étang de Bages-Sigean. Une fois n'est pas coutume, mais René Delage, le directeur du site, a organisé une conférence de presse dès l'après-midi de l'accident. On a donc eu droit à une certaine transparence, avec aussi une conférence de presse du Préfet et de la Drire le mardi 30 mars et une réunion extraordinaire de la CLES (Commission Locale Environnement et Sécurité) le mercredi 31 mars. Et le 1er avril le Préfet signait l'arrêté d'autorisation de redémarrage, précisant les conditions de sécurité et les travaux de confinement de la pollution. Deux grandes questions restent posées maintenant : - Y a t-il des risques de pollution dans la plaine de Livière ? Il faut savoir que la plupart des exploitations agricoles puisent leur eau dans la nappe qui affleure de partout, et cette eau sert à arroser, irriguer et abreuver les bêtes. Il faut donc effectuer des analyses de contrôle sur les divers puits : teneurs en nitrates, mais aussi en uranium et autres métaux. Rappelons à ce propos ce que nous apprend le dernier inventaire de l'ANDRA (Agence nationale des Déchets RadioActifs) : la fiche LAR5 indique que les bassins de lagunage B1,B2,B3, représentaient, en mars 2002, 267 520 tonnes de dépôts nitratés contenant 305 tonnes d'uranium naturel, soit une activité de 45 Térabecquerels (1200 Curies). En gros, ces dépôts sont sans doute restés sous forme solide sur l'emplacement des bassins. En vue de rassurer les riverains et les Narbonnais, ECCLA a demandé à la Drire lors de la CLES ( qui existe depuis 1993 à l'initiative de l'industriel) et par courrier une évaluation du niveau de radioactivité dans la plaine, ainsi que la CLI de Marcoule l'a obtenu dans la basse vallée du Rhône suite aux inondations de décembre 2003. - Quelles sont les causes de ce grave accident industriel ? L'enquête de la Drire, de Comurhex et d'Antea n'est pas encore achevée, et toutes les hypothèses doivent être examinées: • éventuelle secousse sismique • conséquences de la forte sécheresse de l'été 2003 (plusieurs riverains ont observé des fissures dans leurs habitations, et on nous a signalé un "cabanot" qui aurait pris récemment une gîte importante, sans oublier les rochers qui se sont écroulés à Saint Pierre la Mer le 14 avril ou ceux qui menacent de le faire à Terra Vinea...); • conséquences des travaux réalisés ces dernières années au pied des bassins (fermeture du canal de Cadariège, création d'un fossé pour récupérer les fuites de ces bassins en terre, etc); ou encore vieillissement des installations (l'usine a été mise en service il y a 45 ans, sur le site d'une ancienne mine de soufre). On devrait en savoir plus lors de la prochaine réunion de la CLES, prévue avant l'été prochain. (suite) Juillet 2004 • CLES le 30/03, à l'initiative de la Comurhex : information et visite des lieux. • Réunion de "terrain" le 28/04, à l'initiative de la Mairie de Narbonne: questions des riverains relayées par la mairie, associations non invitées. (suite)
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• CDH le 18/05, suite à la demande d'ECCLA au CDH précédent (22/04) : informations sur l'accident par un ingénieur du pôle risques de la Drire-L.R. ; annonce d'une tierce expertise sur les causes de l'accident confiée au B.E. Coyne et Bellier, alors que Comurhex a chargé Antea d'une première étude (Antea suit en permanence les bassins pour le compte de Comurhex). Les membres du CDH restent un peu sur leur soif... • Table ronde le 14/06 à l'initiative de la Mairie : opération de propagande au nom de la "transparence", alors que tout le monde sait que le Préfet a convoqué un pré-CLIC, en application de la circulaire Bachelot du 12/07/02. • Pré-CLIC le 17/06, à l'initiative du Préfet et de la Drire L.R.: le Préfet pose des questions assez insistances sur les risques pour les populations (mais ne semble guère se soucier de ceux pour les étangs et l'environnement). Un hydrogéologue d'Antea fait un exposé très technique sur les écoulements dans la plaine, les pièzomètres, etc. Il se confirme que la société Algade est chargée du suivi radiologique : ECCLA met en cause son indépendance, compte tenu que son siège est dans les locaux de Cogema à Bessines sur Gartempe (Haute Vienne) ; on nous répond qu'Algade a été vendue à l'Institut Pasteur et est donc tout à fait indépendante ! Suite à cette réunion, les riverains ne sont pas tout à fait rassurés; certains demandent pourquoi ils n'ont pas été évacués... • CDH le 02/07 : proposition de la Drire-L.R. d'un A.P. complémentaire à l'A.P. de réactualisation du 10 avril 2000. Satisfaction de voir que la Drire demande une surveillance radiologique permanente (débits de dose en limite du site, prélèvements de poussières, eau du canal, terre, sédiments et végétaux), et pas seulement post-accident, comme ECCLA l'avait demandé lors de la CLES du 31/03 et confirmé par lettre du 08/04/04 en s'inspirant de ce que la CLI de Marcoule avait obtenu dans la basse vallée du Rhône suite aux inondations de décembre 2003. En revanche, il est confirmé le classement des bassins B1 à B3 en rubrique 167 de la nomenclature (comme c'était déjà le cas dans les A.P. des 01/04/98 et 10/04/00), alors que ces bassins représentent une radioactivité de 45 TeraBq, selon le dernier inventaire de l'Andra (fiche LAR5 mise à jour en mars 2002) ; à nos protestations il est répondu que ce ne sont que des déchets TFA et qu'il est donc "normal" de classer leur décharge en rubrique 167. Ce classement nous semble scandaleux et très inquiétant. • Sous-Préfecture le 06/07, à l'initiative du Sous-Préfet, avec les représentants de la Drire et de la DDASS, 2 élus, l'industriel et des riverains : rendu des premières mesures de suivi radiologique (du 15/04 au 23/06/04) par un représentant de la société Algade et de mesures mensuelles sur les eaux du canal par l'IRSN. résultats "rassurants" et les riverains se disent satisfaits. ECCLA remet en cause l'indépendance de Algade (cette fois, on nous répond que la société a été vendue au groupe Carso en avril 2001) et demande que le suivi soit confié à la CRII-RAD. Le compte-rendu de la réunion, signé du Sous-Préfet, fait état de notre mise en cause, mais pas de notre demande à la CRII-RAD. A signaler enfin que, si nous avons reçu rapidement un compte-rendu de cette dernière réunion, nous n'avons reçu aucun compte-rendu des 6 autres réunions. - Dernière chose: à 2 occasions différentes des responsables d'EDF à Toulouse et à Carcassonne ont évoqué la possibilité d'une nouvelle centrale nucléaire sur le littoral méditerranéen, en évoquant la zone de Port La Nouvelle, comme il y a 30 ans... Cf. des articles parus dans la Dépêche du Midi et l'Indépendant du vendredi 25 juin. La présente information est très factuelle, mais elle nous a semblé nécessaire dans la mesure où les divers acteurs de la militance critique du nucléaire n'ont donné jusqu'ici aucun écho de ce très grave accident. p.28
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C.R.I.L.A.N. Communiqué de presse du 4 août 2004 Suite à l'annonce médiatique
qu'elle vient d'en faire, nous ne sommes d'accord que sur un seul point
avec la direction d'AREVA-COGEMA- La Hague :
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"Journal de la Haute-Marne" / jeudi 29 juillet 2004 Dénonçant la surveillance exagérée
dont ils estiment etre l'objet, les collectifs contre l'enfouissement des
déchets nucléaires ont écrit au préfet de la
Meuse. Voici une copie de leur courrier.
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03/08/04 (AFP) Le décret autorisant
le transfert au secteur privé du contrôle de la Société
nationale d'électricité et de thermique (Snet), propriété
du groupe Charbonnages de France, est paru mardi au Journal Officiel.
Le Premier ministre, sur le rapport du ministre
de l'Economie, des Finances et de l'Industrie (...) décrète
le transfert au secteur privé du contrôle de la Société
nationale d'électricité et de thermique", stipule le décret
daté du 29 juillet.
Le ministre de l'Economie est chargé
de l'exécution du présent décret, qui sera publié
au Journal Officiel", est-il précisé.
La Commission des participations et des transferts
(CPT) avait donné la semaine dernière son feu vert à
la privatisation de la Snet, avec la prise de contrôle majoritaire
du groupe espagnol Endesa.
Endesa, qui possède déjà
30% du capital du producteur français d'électricité,
va désormais monter à 65%.
En avril, la Commission européenne
avait donné son feu vert à la prise de contrôle de
la Snet par le premier opérateur électrique espagnol.
Monsieur Sanchez
Cher Monsieur Sanchez,
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MINES D'URANIUM DU LIMOUSIN ET POLLUTIONS Jeudi 1er avril 2004
Nouveau rebondissement dans les poursuites
pénales pour pollutions radioactives émanant des mines COGEMA
du Limousin
Contact presse SRL Antoine GATET 06 77 68 46 45
p.30
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AREVA: la contamination funky! Le Réseau "Sortir du nucléaire" publie ce jour un pastiche de la publicité d'Areva pour rétablir la vérité sur l'industrie nucléaire Alors que la Cogéma-Areva est renvoyée
en correctionnelle par la cour d'appel de Limoges pour "pollution, abandon
ou dépôts de déchets contenant des substances radioactives"
en Haute-Vienne, le Réseau « Sortir du nucléaire »
diffuse ce jour, vendredi 26 mars 2004, un pastiche de la publicité
actuelle de la multinationale nucléaire Areva. Le document, diffusé
en fichier attaché avec ce mail, est aussi consultable sur le web:
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Greenpeace France Suite à la constitution du Comité de soutien "Non, nous n'allons pas nous taire" et à l'action symbolique menée par les militants de Greenpeace en janvier dernier, place de la Bastille, AREVA a finalement renoncé à faire saisir les biens de Greenpeace France, sans doute par crainte d'une image trop négative au moment où fleurissent dans tous nos médias sa publicité institutionnelle... Mais le N°1 mondial du nucléaire vient de faire saisir un compte bancaire de l'association, montrant ainsi sa volonté innébranlée de faire taire durablement son contradicteur : une saisie attribution pour un montant de 51 212 Euros a été opérée mais seul le montant crédité sur le compte, soit 5 752 Euros a pu être saisi. Nous proposons à AREVA que la somme réclamée soit versée à la Fondation Nicolas Hulot afin d'organiser des vacances d'enfants en difficulté dans son école de formation à l'environnement en Bretagne. Pour tous les détails et informations sur cette affaire, visitez: http://www.greenpeace.fr p.31
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Axel Mayer (BUND Regionalverband
südlicher Oberrhein)
Jean Paul Lacôte (Porte-parole des associations membres à la commision locale de surveillance de Fessenheim) L'euroréacteur EPR (réacteur
européen à eau pressurisée) - un danger pour l'homme
et pour l'environnement.
Sites prévus pour les premiers EPR:
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Dangers de l'EPR (en bref): Où qu'on le construise, l'EPR sera dangereux. Il produit des déchets nucléaires qu'il faudra stocker durant des millions d'années. Pour chaque mégawatt d'électricité produite en un an, chaque centrale produit la radioactivité à vie courte et à vie longue d'une bombe d'Hiroshima. Deux EPR à 1600 MWe chacun produiraient la radioactivité de 3200 bombes d'Hiroshima. Partout où des hommes travaillent, les erreurs humaines sont possibles. L'EPR est grand, au lieu d'être sûr. L'organisation internationale des médecins pour la prévention d'une guerre atomique IPPNW dénonce la capacité de 1600 MW comme un abandon des normes de sécurité. C'est pour éviter une explosion des prix de l'électricité que Siemens & Areva privilégient le gigantisme au détriment de la sécurité. Les systèmes de sécurité passifs de l'EPR ne sont pas suffisants, armatures et pompes sont toujours entraînées par motrices, qui peuvent s'arrêter à la moindre panne de courant. La seule innovation de l'EPR est le réservoir destiné, en cas d'accident majeur, à recevoir et refroidir le coeur en fusion. Pour ce faire, il faudrait d'une part que le bassin soit absolument sec, sans quoi les risques d'explosion de vapeur sont très élevés, et d'autre part, il faudrait recouvrir d'eau le coeur en fusion, ce qui provoquerait justement ces explosions de vapeur à éviter... (voir les études d' IPPNW à ce sujet). Et pour l'EPR, des gens mourront dans les mines d'extraction d'uranium, par les radiations proches des centrales, dans les usines de plutonium (dites de retraitement) et d'enrichissement d'uranium. Comme toute autre centrale nucléaire conventionnelle, l'EPR produira des rejets radioactifs lors de son fonctionnement dit « normal ». Destiné à l'exportation, l'EPR aggrave donc le risque que de nouveaux pays entrent en possession de la bombe atomique. Selon Jean-Jacques Rettig, du CSFR (Fessenheim), « l'Etat français n'a tiré aucune leçon de la vente d'une centrale nucléaire à l'Irak. Celui qui détient une centrale nucléaire est capable de construire une bombe. Pour des profits à court terme, EDF, EnBW, Siemens et Areva mettent la paix mondiale en danger ». Le projet EPR a commencé bien avant les événements du 11 septembre 2001. L'EPR n'est pas prévu pour faire face à une éventuelle attaque terroriste. Une attaque terroriste ou un accident nucléaire majeur rendraient une grande partie de l'Europe inhabitable pour toujours. Un pays possédant des centrales nucléaires est à la merci de tous les chantages. L'EPR n'est pas à l'abri du risque de fusion du coeur du réacteur. Tous les dispositifs de sécurité de l' EPR ne peuvent que contrôler des fusions à basse pression, dispositifs dont le fonctionnement est par ailleurs très controversé. L'EPR n'est donc pas un nouveau réacteur, tous les problèmes inhérents au P.W.R restent entiers. Que faire? Il faut se mobiliser et résister à la propagande médiatique du lobby nucléaire. Il y a encore des millions de consommateurs écologistes qui achètent des produits à Siemens. Nombreux sont ceux qui achètent leur électricité à des firmes nucléaires telles que Eon, EnBW, RWE, Vattenfall ou à des filiales dites environnementales. Cela pourrait changer avec le lancement de l'EPR, car il existe des producteurs alternatifs, vendant à bon marché de l'électricité produite à 100% sans nucléaire comme l'EWS de Schönau. Mais résister pacifiquement, cela signifie aussi faire pression sur tous les sites possibles, résister à Gorleben, faire pression sur les partis pro-nucléaires allemands, ainsi que sur les partis au pouvoir en léthargie. Les actions transfrontalières et une coopération anti-nucléaire internationale sont plus nécessaires que jamais. Si le lobby nucléaire ne connaît pas de frontières, ses opposants non plus. L'industrie nucléaire est tournée vers le passé alors qu'une vraie préparation de l'avenir exige le développement des alternatives. Une politique énergétique digne de ce nom, durable et respectueuse du climat doit combiner différents facteurs : économies d'énergie, renoncement au gaspillage, cogénération, sources d'énergie renouvelables. Sans une véritable politique économique écologiquement soutenable, nous conduisons notre planète droit à sa perte. Avec l'EPR, cela ira seulement un peu plus vite. p.32
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PETITION EUROPEENNE
Un million d´européens demandent la sortie du nucléaire!
Sous le titre "Un million d´européens
demandent la sortie du nucléaire", de nombreuses associations, syndicats
et groupes européens démarrent une campagne de pétition
dans toute l´Union européenne à l´occasion du
26 avril 2004, date anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl. Le but
est de réunir un million de signatures d´ici le 26 avril 2005
pour convaincre les pays de l´Union Européenne de prendre
de toute urgence les mesures suivantes :
- arrêter ou empêcher la construction
de nouveaux réacteurs et installations nucléaires dans l´Union
Européenne,
- lancer un plan de sortie du nucléaire
au niveau de l´Union européenne,
- investir massivement dans les économies
d´énergie et le développement des énergies renouvelables,
- abroger le traité Euratom qui soutient
massivement le nucléaire en Europe, au moyen des finances publiques
Seules ces mesures permettront de lutter à
la fois contre le péril nucléaire et contre le réchauffement
climatique.
Le résultat de la pétition sera
publié à l´occasion d´un grand événement
d´ici le 26 avril 2005.
Pour tout renseignement complémentaire, nous écrire à: mailto:rezo@sortirdunucleaire.org
BORDEAUX, 13 juil 2004 (AFP) -
L'association Avigolfe, qui milite pour la reconnaissance de maladies liées
aux guerres du Golfe et des Balkans, a dénoncé mardi une
enquête "biaisée dès le départ" après
la remise du rapport définitif de l'INSERM sur la santé des
militaires français ayant participé au conflit du Golfe.
Les résultats de l'enquête, remis à la ministre de la Défense, "n'ont pas démontré l'existence d'un syndrome spécifique du Golfe au sens scientifique du terme", a indiqué mardi le Pr Roger Salamon, directeur d'une unité de recherche de l'Inserm à Bordeaux, chargé de l'enquête. Or, selon Hervé Desplat, président d'Avigolfe et ex-caporal de la Guerre du Golfe, interrogé par l'AFP, sur les quelque 20.000 militaires français ayant participé à la guerre, "seuls 10.477 ont été contactés, et 75 % des répondants sont encore en activité. Ceux-là sont forcément en bonne santé". Par ailleurs, certains militaires ayant répondu étaient "loin des fronts", en poste "au Pakistan, en Turquie ou au Yémen". M. Desplat a condamné l'absence d'indépendance de certains médecins - des militaires - ayant participé à l'élaboration du protocole destiné à réaliser l'enquête, ainsi que la faiblesse des moyens mis en oeuvre, soit "180 euros par militaire ayant passé des examens médicaux". A ses yeux, la conséquence est notamment l'absence de recherche d'uranium 236, "déchet nucléaire présent dans les munitions françaises et américaines", ou des "organophosphorés, molécules contenues dans des gaz de combat irakiens". "Qui ne cherche rien ne trouve rien", a conclu M. Desplat, qui a précisé que son association souhaitait mettre en place "un comité d'experts indépendants, comme l'ont fait les Anglais". |
les principales données PARIS, 13 juil 2004 (AFP) - Voici les données
majeures du rapport final sur la santé des vétérans
français de la guerre du Golfe, remis mardi par le Pr Roger Salamon
(INSERM, Bordeaux) à la ministre de la Défense, Michèle
Alliot-Marie:
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